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emmanuel macron - Page 5

  • Macron, le triomphe de l'impolitique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue cueilli sur le site d'Idiocratie et consacré à Emmanuel Macron comme agent d'une opération de marketing politique destinée à faire perdurer un système à bout de souffle en neutralisant par avance tout jugement critique.

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    Macron, le triomphe de l'impolitique

    Quelques mois après les élections présidentielles de 2017, Harold Bernat se fendait  d'un délicieux petit essai à la tonalité vive et au fond roboratif : Le néant et le politique. Critique de l’avènement Macron. En 2022, rien n'a vraiment changé sinon que le contenu de l'essai apparaît encore plus révélateur au vu de l'entrée en campagne du président. Certes, les circonstances exceptionnelles s'y prêtent mais, tout de même, le néant politique qui s'ouvre devant nous ne doit pas tout à la conjoncture; au contraire, il a été entretenu par la technostructure gouvernementale et par la majesté présidentialiste pour que l'action politique ne soit évaluée qu'à l'aune de sa faisabilité et de son efficacité. Bref, l'on vend du programme d'action publique comme des marchandises consommables, et ceux qui s'écartent de cette raison ratiocinante sont aussitôt taxés de complotistes, extrémistes, incultes, inconscients, etc. Le réel, et rien que le réel mis en narration par les classes dirigeantes politico-médiatiques. Aussi, le président peut-il se présenter devant les Français sans se plier à un quelconque débat d'idées ni même soumettre ne serait-ce que le début d'un programme d'action - on n'ose plus parler de vision du monde ou même de perspective de long terme. Il ne s'agit pas d'un braquage électorale ou d'un déni de démocratie, non, tout simplement d'un évidement de la politique réduite à sa portion congrue : la forme, le contenant, le paquet, le ruban. Circulez il n'y a rien à voir.

    C'est pourquoi il nous semble utile de revenir à l'ouvrage de Bernat qui, il y a cinq ans, avait déjà tout dit. Placé sous le patronage de Jean Baudrillard, Guy Debord et Michel Clouscard, l'auteur commence par rappeler que la personnalité de Macron – qui a tant fait gloser les commentateurs ! – n’a tout simplement aucun intérêt dans la mesure où elle n’est que la révélatrice d’un processus beaucoup plus profond : l’effacement du politique. En cela, Macron est bien un simulacre qui permet de représenter un réel qui n’existe plus. L’énorme batelage médiatique qui a accompagné son ascension n’avait d’autre but que de donner chair à ce produit préfabriqué : le montrer, le raconter, le soupeser, bref, le rendre réel puis incontournable.

    Rappelons que la simulation est une liquidation par redoublement de la réalité par les signes de la réalité. Une fois installée dans les représentations, la simulation comme copie de la réalité disparaît au profit d’une nouvelle réalité qui ne repose plus sur rien, c’est le simulacre. D’où la fameuse phrase de Baudrillard : « Le simulacre n’est jamais ce qui cache la vérité – c’est la vérité qui cache qu’il n’y en a pas. Le simulacre est vrai ». Avec Macron, la scène du politique s’est déplacée dans un autre espace, celui de la simulation, avec pour fin dernière de liquider le politique en tant qu’espace de conflictualités. Concrètement, cela passe par la réduction du langage au code et du discours à la communication. Ainsi, Macron a pu tout dire et son contraire sans que cela n’apparaisse comme contradictoire ; son message informe, malléable, épouse les standards de la publicité politique : « se retrouver ensemble », « dépasser les clivages du passé », « projet d’avenir », etc. A cela s’ajoute une volonté de lisser toutes les oppositions afin d’apparaître comme un émetteur neutre, pragmatique et toujours positif – un émetteur dépolitisé. Dans ce contexte, tous ceux qui portent une parole contestataire ou simplement critique sont de suite rabattus au rang d’extrémistes irresponsables. Alain Deneault parle à ce propos de « neutralisation par le centre » que l’on peut considérer comme une version sophistiquée du reductio ad hitlerum

    Cette bouillie idéologique a également pour fonction de substituer l’image à la parole et de faire advenir ainsi une société du spectacle politique. Selon ce schéma, Macron ne doit pas être envisagé comme le « candidat des médias » comme feignent de le croire les journalistes qui se veulent insoumis (Aude Lancelin, Edwy Plenel, etc.) mais comme un candidat calibré pour les médias, suscitant les commentaires, les « unes », les fantasmes. « Macron n’est pas vide. Il jouit du vide qui le fait être (…). Il se nourrit de l’idiotie médiatique qu’il flatte et dont il est le candidat par excellence » écrit Harold Bernat. Il est moins une figure charismatique qu’un agent chromatique qui reflète les lumières artificielles de la société virtualisée.

    Dans cette configuration, l’auteur souligne que les citoyens-consommateurs ne sont pas exempts de toute responsabilité. Non seulement ils jouissent du spectacle offert mais se croient volontiers au-dessus du lot en développant une indifférence amusée voire un cynisme de bon aloi. En vérité, la rationalité du jugement critique disparaît derrière l’évidence indiscutable de l’opérationnalité : Macron est devenu un désir fétichisé sur lequel chaque citoyen peut transférer son besoin de positivité, d’optimisme, d’empathie. Ainsi, le progressisme – dont la faillite est quasi-totale – réussit l’incroyable tour de force de se présenter comme la seule vision acceptable de l’avenir. 

    Enfin, il faut ajouter au dispositif pour qu’il soit complet les recettes de la gestion managériale appliquée à la manipulation des affects. Quand la parole se réduit au slogan, les images à la mise en scène du spectacle et la politique à la neutralité bienveillante, la fabrication du consentement peut s’appuyer sur « une foule d’hommes semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent leur âme » (Tocqueville). Dès lors, les structures du pouvoir se confondent avec les structures de la subjectivité moyenne pour donner naissance à une sorte de despotisme mou qui gère davantage les émotions de la multitude qu’il ne met en discussion les opinions individuelles.

    Au final, le but de cette gigantesque opération de marketing politique est naturellement de faire perdurer un système à bout de souffle en neutralisant par avance, comme on l’a vu précédemment, tout jugement critique. Il en résulte un effacement progressif du politique compris comme le lieu de la discussion et donc de l’opposition au profit d’un « esthétisme global, cool et instantané ». De la même façon, le sens de la communauté voire la simple espérance d’une destinée collective sont relégués au rang des vieilles antiquités quand ils ne sont pas vus comme le substrat d’idéologies nauséabondes. Désormais, dans cette société impolitique, il appartient à chacun de faire de son existence une petite entreprise prospère avec l’espoir un jour d’intégrer le camp des vainqueurs, celui de la start-up nation. 

    Des Idiots (Idiocratie, 13 mars 2022)

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  • Le déclassement français...

    Les éditions Michel Lafon viennent de publier une enquête de Christian Chesnot et de Georges Malbrunot intitulée Le déclassement français. Respectivement grand reporter à Radio France et journaliste au Figaro, Christian Chesnot et Georges Malbrunot ont déjà publié enquêtes consacrées au Proche-Orient.

     

    Chesnot_Malbrunot_Le déclassement français.jpg

    " Une grande enquête dans les coulisses diplomatiques sur les raisons profondes de ce déclassement français.

    Alors qu'elle jouissait d'un véritable crédit, la France est aujourd'hui déclassée au Moyen-Orient et au Maghreb. La conséquence de quinze ans d'une politique versatile que les auteurs ont décryptée à Paris, Rabat et Téhéran, jusque dans le champ de ruines irako-syrien en passant par Tel-Aviv. Un recul que, malgré son volontarisme et une vision stratégique, Emmanuel Macron, trop pressé et catégorique, n'a su enrayer.
    Après avoir autopsié le rêve brisé du président français de redresser le Liban, avec ses stériles coups de gueule contre les dirigeants de Beyrouth et son surprenant pas de deux avec le Hezbollah, les auteurs montrent comment, dans le dossier mémoriel avec l'Algérie, il s'est retrouvé piégé par les caciques du régime, des vieillards insensibles à ses gestes d'ouverture... mais prompts à se faire soigner en France sans jamais payer la facture ! Dévoilant les termes du pacte entre Erdogan et Daech, ce livre montre comment, en Libye, la DGSE a mené une funeste guerre secrète contre notre allié italien. Une vilenie pratiquée y compris à Paris où une poignée de diplomates néoconservateurs, obsédés par la menace iranienne, sont allés jusqu'à initier une enquête du ministère de l'Intérieur contre un de nos ambassadeurs sourd à leurs thèses. Emmanuel Macron se voulait « le maître des horloges ». Dans le sérail oriental, il aura découvert que le temps est loin d'avoir la même mesure des deux côtés de la Méditerranée. "

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  • La tentation du chaos ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré au choix que pourrait faire Emmanuel Macron de la fuite en avant pour échapper à une possible défaite...  

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020) et tout dernièrement Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

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    Emmanuel Macron. Face à l’impopularité, la tentation du chaos ?

    Napoléon affirmait que « la nation française est la plus facile à gouverner quand on ne la prend pas à rebours… Elle distingue à l’instant même ceux qui travaillent pour elle ou contre elle [1] ». L’impopularité d’Emmanuel Macron et de son gouvernement le confirme.

    Selon le dernier sondage BVA pour RTL et Orange réalisé les 21 et 22 avril 2021, 61 % des personnes interrogées excluent désormais de voter pour Emmanuel Macron au premier tour de l’élection présidentielle de 2022 s’il se représente, une majorité d’entre elles le considérant comme « un mauvais président ».
    Un autre sondage réalisé par Redfield & Wilton Strategies révèle un résultat pire encore : seulement 16 % des répondants déclarent qu’ils voteraient pour Emmanuel Macron lors de la prochaine élection présidentielle.

    Une continuité dans la défiance

    Certes les élections ne se réduisent pas aux sondages.
    Mais il faut néanmoins les prendre en considération quand ils confirment la plupart des enquêtes d’opinion depuis 2018 : globalement deux Français sur trois – voire trois sur quatre selon les questions posées –, manifestent leur désapprobation de la politique conduite voire de la personnalité même du président de la République.

    En d’autres termes, l’impopularité d’Emmanuel Macron ne fait que se confirmer depuis 2018. Et le président n’a pas réussi en quatre années de pleins pouvoirs à créer une dynamique électorale en sa faveur : en réalité le « parti » présidentiel, minuscule et aphone, n’a pas gagné une seule élection nationale !

    Une certaine idée de la déconstruction

    Une telle continuité dans la défiance augure mal de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron en 2022, voire de sa simple candidature.
    D’autant que le locataire de l’Élysée continue obstinément de narguer les Français par ses déclarations à l’emporte-pièce : la dernière en date, une interview en anglais à CBS, où, sous prétexte de revenir sur son passé colonial, notre pays devrait « déconstruire son histoire ».

    Homme du Système, Emmanuel Macron n’a que mépris pour la France et le peuple français qu’il ne connaît pas et qu’il perçoit avant tout comme un obstacle à la mise en œuvre de l’agenda dont l’oligarchie l’a chargé.
    De Gaulle affirmait se faire une certaine idée de la France ; Emmanuel se fait, lui, une certaine idée de la déconstruction de la France, la nuance est de taille.

    Comme Biden ?

    Comme Joe Biden aux États-Unis, Emmanuel Macron mise sur les « minorités » et l’action conjuguée du patronat, de l’extrême gauche, des médias et des GAFAM pour l’emporter en 2022. Et bien sûr aussi sur l’éparpillement des autres candidatures, notamment à droite. Et peut-être aussi sur quelques manipulations électorales.
    Malheureusement, une telle stratégie, de plus en plus visible, ne donne pas forcément le résultat attendu.

    D’abord, nos concitoyens ressentent de plus en plus le parti pris officiel en faveur des immigrants, des musulmans, des minorités ou des racailles comme une insupportable injustice.
    Ensuite, plus la macronie fait du sociétal, de la déconstruction, ou de l’immigration, plus elle augmente l’insécurité culturelle de la population et plus elle suscite l’inquiétude et le mécontentement.
    Ce que la macronie gagne en répondant aux lubies des minorités activistes, elle le perd en révoltant la majorité de la population.

    L’homme du passif

    En outre, à la différence de Joe Biden, Emmanuel Macron incarne un bilan, un passif particulièrement lourd.
    En particulier dans le domaine de la sécurité des biens et des personnes, qui se dégrade à une vitesse vertigineuse en France. Or il s’agit d’une question essentielle au pacte civil : un État incapable d’assurer l’ordre et la paix civile devient tout simplement un état illégitime.

    Sur le plan économique et social, Macron présente un bilan tout aussi mauvais : notre pays devient la lanterne rouge de l’Union européenne, accumulant les mauvais résultats, de plus en plus à la traîne derrière l’Allemagne.

    La gestion de l’épidémie de Covid n’a pas non plus convaincu nos concitoyens.

    La présidence Macron se caractérise enfin par un catastrophique bilan liberticide : état d’urgence intégré dans le droit commun, prolongation permanente de l’état d’urgence sanitaire, censure de l’information sous prétexte de lutter contre les fake news, opposition parlementaire muselée, renforcement des pouvoirs de police, répression féroce du mouvement des Gilets jaunes, accord passé avec les GAFA et YouTube pour censurer les dissidents, conservation générale des données de connexion en contravention avec le droit européen [2], harcèlement judiciaire des opposants, attaques contre la liberté d’association et la liberté d’enseignement sous prétexte de lutter contre l’islamisme, etc.

    La France porte un masque obligatoire depuis 2020, une France bâillonnée donc : quel symbole de la macronie !

    Impasse Macron

    À un an de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron se trouve donc dans une impasse.

    Il a épuisé son capital politique et usé sa parole : le « en même temps » a perdu toute crédibilité. La « majorité » LREM à l’Assemblée nationale fond lentement mais sûrement. Le Premier ministre fait rire les Français.

    Un discours présidentiel désormais inaudible tant il s’écarte de la réalité française ; comme lorsque le président affirme sans rire : « Je me bats pour un droit à la vie paisible [3] », dans un pays en proie aux violences et aux agressions quotidiennes !

    Moi ou le chaos ?

    Emmanuel Macron ne peut espérer une réélection que si un événement extraordinaire le plaçait dans la position du recours, dans un pays en proie au chaos. Ou lui permettait de suspendre les élections…
    Une nouvelle et opportune pandémie ? Un conflit en Ukraine ? Un attentat particulièrement meurtrier ? Des émeutes ethniques entre les deux tours de la présidentielle ? Une catastrophe financière mondiale ?
    D’une certaine façon, le chaos qui s’installe en France du fait de l’action et surtout de l’inaction gouvernementale n’entre-t-il pas aussi dans une telle stratégie ?

    Cependant Emmanuel Macron a tellement entamé sa crédibilité et son capital de confiance qu’il devient chaque jour plus improbable qu’il apparaisse comme un recours français.

    Le tour de passe-passe macronien, ouvert en 2017 par le coup d’État des médias et du parquet national financier, ne pourra pas durer éternellement.

    En 2022, il faudra bien que l’oligarchie lui trouve un remplaçant ou que le peuple français retrouve sa liberté et sa fierté et referme la parenthèse Macron.

    Michel Geoffroy (Polémia, 30 avril 2021)

     

    Notes :

    [1] Cité par Thierry Lentz, Pour Napoléon, Perrin, 2021, page 75.

    [2] Autorisée par le Conseil d’État dans sa décision du 21 avril 2021 malgré la décision contraire de la Cour de justice de l’Union européenne.

    [3] Interview au Figaro du 18 avril 2020.

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  • Emmanuel Macron, liquidateur de la France ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Olivier Marleix à Nicolas Vidal pour Putsch et consacré à la désindustrialisation que subit la France, voulue ou acceptée par une part de l'"élite"...

    Député LR, Olivier Marleix a présidé en 2017 une commission d'enquête parlementaire sur la politique industrielle, qui a notamment étudié l'affaire Alstom, vient de publier Les liquidateurs - Ce que le macronisme inflige à la France et comment en sortir (Robert Laffont, 2021).

     

                                               

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  • Justice politique : radiographie du Système Macron...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'émission Le samedi politique de TV Libertés, diffusée le 6 mars 2021 et présentée par Élise Blaise, qui recevait Régis de Castelnau, pour évoquer le rôle du pouvoir judiciaire dans le système mis en place par Emmanuel Macron...

    Avocat, fondateur du Syndicat des Avocats de France, Régis de Castelnau, qui a enseigné à l’université Paris II, collabore à plusieurs médias de la sphère souverainiste et anime le site Vu du droit. Il vient de publier Une justice politique - Des années Chirac aux années Macron, histoire d'un dévoiement (Toucan, 2021).

     

                                               

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  • Macron, l'ennemi qui vous veut du bien...

    Le numéro 36 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur un dossier consacré à Emmanuel Macron, des entretiens avec Pierre le Vigan, Marion Maréchal, Philippe Forget, Jean-Eric Branaa, Luc-Olivier d'Algange et Pierre Ducrozet notamment, et les rubriques habituelles "L'époque", "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

     

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